Si depuis 1945 les images des camps et les récits de la Shoah sont devenus l’une des premières références de l’horreur, depuis une quinzaine d’années un large public est confronté à la diffusion sans filtre et sans commentaire d’images et de récits directs de la violence et de la mort. Entre refus du voyeurisme et refus d’édulcoration, quelle est la bonne attitude à adopter pour les musées dont la mission est d’éduquer contre la violence ?
En partenariat avec
En présence de Diane Dufour, directrice de Bal, Natasha Nisic, artiste et Daniel Soutif, philosophe et critique d’art.
Animée par Annette Becker, historienne, professeur des universités.