Exposition « Filmer la guerre » au Mémorial de la Shoah en 2015
Si depuis 1945 les images des camps et les récits de la Shoah sont devenus l’une des premières références de l’horreur, depuis une quinzaine d’années un large public est confronté à la diffusion sans filtre et sans commentaire d’images et de récits directs de la violence et de la mort. Entre refus du voyeurisme et refus d’édulcoration, quelle est la bonne attitude à adopter pour les musées dont la mission est d’éduquer contre la violence ?
En partenariat avec
En présence de Diane Dufour, directrice de Bal, Natasha Nisic, artiste et Daniel Soutif, philosophe et critique d’art.
Animée par Annette Becker, historienne, professeur des universités.