Plus de 70 ans après, les lieux de massacre sont devenus des lieux de commémoration pour les victimes et leurs descendants qui, dans la plupart des cas, ne résident pas en Roumanie.
Comment les populations locales appréhendent-elles la relation avec ces lieux ? Estce que la Shoah est devenue un point de repère pour les valeurs civiques et morales en Roumanie ?
Rencontre précédée de la projection d’un extrait du film Souvenirs de Iasi de Romulus Balasz.
En présence de Radu Ioanid, directeur du département des programmes internationaux d’archives du musée mémorial de l’Holocauste des États-Unis, Alexandru Florian, directeur de l’Institut national pour l’étude de l’Holocauste Elie- Wiesel de Bucarest, et Mihai Dinu Gheorghiu, sociologue.
Animée par Sébastien Reichmann, écrivain.
En partenariat avec l‘Institut Culturel Roumain et l’Ambassade de Roumanie en France